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Le Mali: les traditions (islam), le droit moderne et le concept de la peine de mort

Publié par Mohamedine Ag Akly / Alhousseiny Diabate / Ensemble contre la peine de mort (ECPM) / Penal Reform International, le 1 janvier 2004


2004

Rapport d'ONG


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La peine de mort soit prévue dans le code pénal et prononcée par les jurisdictions, il existe depuis un certain temps une volonté politique de ne pas pratiquer l’exécution de la peine de mort. Depuis le 21 Aout 1980, soit depuis plus de deux décennies, les peines prononcée par les juridictions n’ont pas été exécutées dans la pratique. Mali sous la troisième Republique a etabli un moratoire sur la peine de mort couvrant une période de deux ans de Mai 2002 à Mai 2004. Ce sont autant de facteurs qui donne une lueur d’espoir par rapport à l’abolition de la peine de mort en République du Mali. En réalité le Mali se trouve aujourd’hui partagé entre une « volonté politique de ne pas appliquer la peine de mort et une réticence à abolir purment et simplement la peine de mort « afin, semble t-il, maintenir une certaine dissuasion.

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Singapore: Taux d’exécutions : un secret bien gardé

Publié par Amnesty International, le 1 janvier 2004


Rapport d'ONG

en
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Plus de 400 prisonniers ont été pendus à Singapour depuis 1991, ce qui pourrait faire de cette petite ville-État d’à peine plus de quatre millions de citoyens le pays où le taux d’exécutions par habitant est le plus élevé au monde. Beaucoup de ressortissants étrangers figurent parmi les personnes exécutées. Amnesty International ignore le nombre exact de prisonniers qui se trouvent actuellement dans le quartier des condamnés à mort, mais elle sait que le nombre d’exécutions, alarmant, continue à progresser.

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La peine de mort dans le monde : évolution en 2003

Publié par Amnesty International, le 1 janvier 2004


Rapport d'ONG

enes
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À la fin de l’année 2003, 77 pays avaient aboli la peine de mort pour tous lescrimes. Quinze autres avaient restreint son application aux crimes exceptionnelstels que ceux commis en temps de guerre. Pas moins de 25 pays étaientabolitionnistes de facto : ils n’avaient procédé à aucune exécution depuis dix ansou plus et semblaient avoir mis en place une politique de non-application de lapeine capitale ou s’étaient engagés au niveau international à ne pas recourir à cechâtiment

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HALTE À L’EXECUTION DE MINEURS DELINQUANTS!

Publié par Amnesty International, le 1 janvier 2004


Rapport d'ONG

esen
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le droit international interdit le recours à la peine capitale pour des crimes commis par des personnes âgées de moins de dix-huit ans, certains pays continuent d’exécuter des mineurs délinquants ou de les condamner à mort. Certes, le nombre d’exécutions de mineurs reste faible comparé au nombre total d’exécutions dans le monde. Il montre malgré tout que les États qui y recourent bafouent leurs engagements internationaux au mépris de tout respect en matière de protection des enfants, l’un des groupes les plus vulnérables de la société.

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République Populaire de Chine: Des exécutions << conformes au droit >> ? La peine de mort en Chine

Publié par Amnesty International, le 1 janvier 2004


Rapport d'ONG

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Ce document décrit le processus qui a une personne soupçonnée d’avoir commis un crime capital passe par le cadre du système de justice pénale chinoise, de la détention jusqu’à l’exécution. Ce processus sera décrit en utilisant des exemples de cas étudiés par Amnesty International, et d’autres suivis par la presse officielle en Chine. Comme le montre, il est possible que la violation des droits de l’homme à chaque étape du processus de justice pénale conduisant à l’exécution.

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Tchad, Peine de mort: la levée d’un moratoire, entre opportunisme sécuritaire et règlement de compte

Publié par Fédération internationale des ligues des droits de l'homme / Mahfoudh Ould Bettah / Isabelle Gourmelon / Olivier Foks, le 1 janvier 2004


Rapport d'ONG

en
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La levée de ce moratoire a mené les chargés de mission de la FIDH à analyser en détail la procédure qui a abouti aux exécutions capitales. Le constat est accablant, révélateur d’une justice qui fait peu de cas des instruments régionaux et internationaux de protection des droits de l’homme ratifiés par le Tchad. L’affaire a été menée avec une célérité difficilement conciliable avec le respect du droit à un procès équitable – procédure exclusivement à charge, aveux obtenus sous la torture, refus de prendre en compte des preuves présentées par la défense durant l’instruction, absence d’avocat pendant la phase de l’instruction. Ce procès inique valide l’hypothèse d’une manipulation de la justice pour masquer la réalité d’un crime et l’identité de ses auteurs, tout en obtenant l’exécution de personnes jugées indésirables.

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Manuel de formation n°1 Droits humains et détenus vulnérables

Publié par Penal Reform International, le 1 janvier 2003


2003

Travailler avec...

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PRI a préparé des supports et des documents de référence sous la forme de resource kits” thématiques. Ces kits abordent plus de trente cinq aspects différents de la réforme pénale. Ils se sont largement inspirés de travaux réalisés antérieurement, notamment par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme2, l’UNICEF, le CICR, et Amnesty International.

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Les Mineurs délinquants et la Peine de mort aux Etats-Unis

Publié par Isabelle Casari / Nicolas Philippe, le 1 janvier 2003


Livre

Etats-Unis


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Le 29 juillet 1972, la Cour suprême fédérale déclare par l’arrêt Furman la peine de mort inconstitutionnelle. Isabelle Cesari analyse les contradictions de la juridiction relative aux mineurs délinquants.C’est le fonctionnement même de la société américaine dans son intégralité qui est remis en question à travers l’étude historique et sociologique des causes de la délinquance.Les mineurs délinquants et la peine de mort aux États-Unis, réquisitoire sans concession, ouvre le dossier d’une justice à deux vitesses, qui condamne toujours les plus défavorisés aux peines les plus lourdes.

  • Type de document Livre
  • Liste des pays Etats-Unis
  • Liste des thèmes Mineurs,

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La peine de mort aux Etats-Unis

Publié par André Kaspi / Plon, le 1 janvier 2003


Livre

Etats-Unis


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Pourquoi les Américains n’ont-ils pas suivi l’exemple des Européens qui, les uns après les autres, sont passés dans le camp des abolitionnistes ?Pour répondre à ces questions, il faut interroger l’histoire, le droit, les opinions publiques, les milieux politiques, religieux et universitaires. On constate que 38 Etats, plus l’Etat fédéral, recourent ou sont susceptibles de recourir à la peine de mort, mais que 12 Etats l’ont abolie ; que, de la Virginie à la Californie, de l’Ohio au Texas, la procédure pénale n’a rien d’homogène. Le racisme a laissé des traces. Les avocats ne sont pas toujours à la hauteur de leur tâche. Les jurys se laissent influencer par les médias. Les politiques cèdent aux pressions de la rue. Pourtant les condamnés disposent d’un vaste arsenal de recours et d’appels. En dépit des crimes horribles qu’ils ont commis, très peu d’entre eux sont exécutés. Contrairement à une idée reçue. Et il ne faudrait pas croire non plus que le débat n’existe pas aux Etats-Unis. Il est vif et intéressant. Dissiper nos ignorances et nos préjugés, tel est le but de ce livre.

  • Type de document Livre
  • Liste des pays Etats-Unis
  • Liste des thèmes Réseaux,

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L’argument d’interférence minimale contre la peine capitale

Publié par Hugo Adam Bedau / Revue Philosophique de Louvain, le 1 janvier 2003


Article


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Le présent article se centre sur un argument dirigé contre la peine capitale, l’argument d’interférence minimale, qui remonte à Beccaria. Une défense est offerte des prémisses essentielles de cet argument, à savoir la légitimité générale de l’existence d’un système pénal, la violence supérieure de la peine capitale par rapport à la peine d’emprisonnement et l’aptitude au moins égale de l’emprisonnement à servir les objectifs poursuivis par la peine capitale. Deux objections sont ensuite rejetées, la première prétendant que la peine capitale dispose d’un pouvoir dissuasif supérieur à celui de la peine d’emprisonnement, la seconde reposant sur une conception rétributiviste de la pleine. Le rejet de la première recourt à une réduction à l’absurde et celui de la seconde repose sur l’argument selon lequel, à supposer même que l’on adopte une approche rétributiviste, celle-ci ne justifierait pas nécessairement la peine capitale. Beccaria (et après lui Bentham) avaient donc raison.

  • Type de document Article
  • Liste des thèmes Dissuasion, Peine de Mort,